La dépollution des sols et des berges : Méthodologie

1)Détermination des besoins en fonction des analyses sur les polluants et leur localisation fournies par le bureau d’études missionné par le client ; sélection des souches de bactéries si besoin.
2)Traitement au LMF (épandage, mélange, injection) qui fragmente la chaîne carbonée des polluants en tronçons de 12 à 19 atomes et les encapsule. Cette action permet aux bactéries sélectionnées de littéralement « digérer » les hydrocarbures.
3)Pour ce qui concerne d’autres polluants que les hydrocarbures comme les solvants, le toluène, les métaux lourds, etc…nous disposons d’autres souches bactériennes adaptées.
Dans ce domaine, notre fournisseur et partenaire dispose de la plus grosse Souchothèque de bactéries de France qu’il a constituée au fil de ses 40 ans d’existence. Il est agréé par l’ADEME.

La dépollution de l’eau

Avec une méthodologie adaptée, notre procédé LMF/Bactéries est tout aussi efficace pour traiter les eaux de surface ou profondes, qu’il s’agisse de dépolluer des cours d’eau , de décontaminer l’eau des bassins et d’éliminer les odeurs.
Avantages: économies et respect de l’environnement

Pour les sols ou les berges, comparé aux méthodes classiques, notre procédé, complètement bio, permet une économie minimale de 20% et un raccourcissement des délais de 40%.

Jusqu’à ce jour, selon le degré de pollution, sa nature, sa profondeur dans le sol, mais surtout en fonction de l’usage ultérieur du site concerné,  la dépollution des sols est réalisée en recourant à l’une des quatre techniques suivantes : extraction par dégazage sur site puis neutralisation chimique, traitement sur site avec excavation des terres, traitements sur site avec utilisation de produits chimiques type capturants puis enfouissement, traitement hors site avec excavation. Dans ces quatre cas, les nappes ne sont pas toujours complètement traitées, les résidus restent enfouis sur place, l’empreinte carbone des engins de chantier et des transports est importante, le coût est élevé.

L’application du LMF ne saurait excéder 80% du prix de la méthode classique, sans compter l’économie de fondations spéciales et d’isolement si le terrain doit recevoir une construction ou les coûts de transport. Quasiment sans empreinte carbone, le procédé rend un terrain à nouveau « naturel » pour la construction sans mouvements de terres.

Les délais seront raccourcis d’environ 40%.

Au-delà des sols, le procédé peut aussi s’appliquer à la décontamination des polluants présents sur ou sous les structures de surface fixes (installations industrielles, ponts, autoroutes, chemin de fer, entrepôts, quais de port , berges, etc…) sans leur enlèvement ou leur démolition et sans interruption de l’activité à laquelle ils sont destinés. Dans ces cas également, le bénéfice coût/efficacité est évident.


L’efficacité et la simplicité d’usage de tous les produits LMF garantissent des résultats rapides et efficaces.